Un vrai roman à l’eau de rose. Pour la Saint-Valentin, c’est des fleurs ou rien ! Non, non, ceci n’est pas une exigence féminine hystérique et vindicative, c’est l'un des slogans de la start-up Neofleurs.
Et pour cause, Simon Sentenac et Alexis Noguès, deux Bigourdans pure souche, la fine fleur, champions de France de pelote basque, mais dont on ignore s’ils sont « fleur bleue », ont choisi ce thème, la fleur au fusil, pour créer leur start-up, une boutique en ligne de distribution de fleurs.
Autrement dit, ils ont découvert le pot aux roses. Et ont fait ça comme des fleurs ! Mais ne sont pas devenus rouges comme des pivoines pour autant. Encore ? allez-vous vous écrier, déjà blasés par tous les sites qui vendent des bouquets de fleur en ligne. Ben non, parce qu’ici, c’est différent. Question d’éthique, pourrions-nous résumer.
D’abord, c’est sur le réseau d’artisans locaux que s’appuie la démarche. Votre bouquet, est dira-t-on personnalisé, réalisé par un expert, passionné et qui y exprimera toute sa créativité. Et ça change tout !
Plus d’uniformisation triste et sans originalité. La fleur est unique, qui sert à véhiculer des sentiments, alors pas question de la traiter comme n’importe quel produit commercial. Fleurs à la carte plutôt que bouquets à la chaîne, ainsi se résume le concept. On ne mange pas les pissenlits par la racine. Le tout avec des prix compétitifs étudiés aux petits oignons (de tulipe) par Simon et Alexis.
Autre originalité et pas des moindres, ici on pense « sentiments » mais aussi « générosité ». Jetons-leur des fleurs pour cela ! Pour la dernière Saint-Valentin et durant tout le mois de février qui correspondait aussi à la Journée Mondiale contre le Cancer, pour chaque bouquet vendu, 1 euro a été reversé à l’association Cheer Up (visite d’enfants atteints de cancer et réalisation de projets).
Et plus glamour encore, à Toulouse, la livraison était offerte pour la Saint-Valentin tandis que les amoureux pouvaient se faire photographier avec des fleurs, tandis qu’un partenariat avec Gaumont permettait de gagner des places pour le film « 50 nuances plus sombres ».
On ne charrie pas dans les bégonias ! Vraiment, c’est le bouquet !
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