Avec beaucoup d’humilité et de détermination, Quentin Vlamynck se sent prêt pour cette aventure exceptionnelle où il pourra exprimer sa grande polyvalence
Que de chemin parcouru depuis ses premières expériences de navigation en famille sur le lac de Biscarosse. C’est au Lycée de la mer de Gujan-Mestra, en 2010, où il étudie les matériaux composites, qu’il fait la connaissance d’un conférencier… Lalou Roucayrol qui deviendra donc son mentor.
Depuis, le Landais s’est fait une belle réputation. D’abord équipier sur l’ex-Arkema 1, il devient ensuite pilote du prototype Arkema 3, décrochant une 6e place à la Mini Transat 2017, avant d’être promu boat captain du trimaran ex-Arkema 1.
La première mise à l’eau d’Arkema 4 a été un moment de grande émotion. « Lorsque l’on participe à la construction d’un trimaran au quotidien, on comprend vraiment que c’est un immense puzzle. Donc, la première confirmation fut que tout était bien en place ».
« Ces sorties de prise en main ont rapidement été très concluantes. Le bateau est sain, aérodynamique et je navigue en toute confiance. C’est une incroyable sensation de piloter aisément à plus de 30 nœuds en se sentant totalement en sécurité. Le bateau se comporte vraiment bien. Nous sommes particulièrement satisfaits du travail effectué sur les bâches aérodynamiques. Par moment, le bateau ne touche quasiment pas l’eau, cabré et en appui sur ses foils ».
Pour compléter sa prise en main du bateau, Quentin Vlamynck a suivi de nombreuses formations : de l’électronique à la préparation mentale, de la météo à la condition physique… rien n’a été laissé au hasard pour maîtriser au mieux cette bête de course, particulièrement exigeantes.
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