Jusqu’au 13 janvier, ce rendez-vous très couru fait la part belle à Aïzéa et Pyrenex. Mais si nous vous avons déjà parlé des doudounes Pyrenex, peut-être n’avez-vous pas encore fait la découverte de la maroquinerie Aïzéa. 100% basque.
Ames sensibles, membres de la PETA ou de la SPA, passez votre chemin. Chez Aïzéa, on parle davantage de mode et de luxe que de protection animale. En utilisant des cuirs précieux de python, d’autruche ou d’alligator des USA, voire même de taurillon, c’est ainsi aussi que la jeune marque emmenée par Joakin Echeverria (si jamais vous doutiez qu’il soit basque, on clôt ainsi vos dernières hésitations), se fait un nom parmi les plus grands.
Vrai que Joakin et son nom très basque ont roulé leur bosse loin de la terre natale, puisqu’il a acquis durant 16 ans une expérience internationale en tant que directeur commercial de Wholesale Expert, en Europe, Russie, Asie, Moyen-Orient, Amérique du Nord. Le tout après avoir été formé à l’Ecole Supérieure de Commerce de Toulouse.
Mais en septembre 2015, le jeune quadra a lancé Aïzéa ou « vent » en basque, une ligne de bagagerie complète raffinée, alliant savoir-faire, qualité, tradition et innovation. Les collections en sont dessinées entre Biarritz et Paris.
Histoire de préparer votre shopping (et peut-être de casser votre petit cochon d’économies), sachez que le sac à main Luisa en python coûte 1.050 euros mais que le sac Donibane dans le même matériau coûte la bagatelle de 2.660 euros. On sait pourquoi ! Dans python, y a thon, et ça vient de Saint-Jean-de-Luz (Donibane)…
Comment ça, sortir ?
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