Sauf qu’en 2006, en guise d’enfant, la première filiale s’ouvre en Tunisie sous le nom d’Aérotech, et Aéroprotec devient un groupe. En guise de voie royale (dans les contes de fées, il y a toujours un côté royal, ici respecté), dès 2012, Aéroprotec crée sa cellule Recherche & Développement.
En 2013, ils agrandissent leur surface de production de plus de 25% et pensent à l’installation d’une chaîne « grandes dimensions ». Ah, ah, s’écrie la sorcière, et rien en 2017 ? Taratata, pirouette cacahuète, grâce à 6 millions d’euros d’investissements, le spécialiste palois du traitement de surfaces fait pousser, comme un champignon magique, une grande usine près de l’Aéroport, dont la première pierre vient d'être posée.
Et quand on dit « grande usine », on pèse nos mots. 2.500 mètres carrés dans un premier temps, suivis de 9.000 mètres carrés en suivant, le tout pour une livraison envisagée fin 2018.
Pschiitttt, à ce moment-là, le groupe a annoncé qu’il devrait procéder à une bonne quarantaine de recrutements. Qui viendront s’ajouter aux 150 déjà existants, pour travailler sur des pièces encore plus grandes. Quant à la cellule R&D, elle intègre ses locaux sur la zone Aéropolis, et recrute aussi des ingénieurs.
Avouez qu’il vous plaît notre conte de fées moderne ?
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