Eux se chargent, à partir de la matière première naturelle, d’élaborer toute une gamme de produits de haute technicité, notamment dans les domaines de la santé animale, des cosmétiques, de la chimie, des polymères et de l’industrie. Et ça rafle à tout va.
Avec trois usines de production, deux en France (le siège social est à Maubourguet, et le siège administratif à Aïcirits) et une en Hongrie, ils sont devenus les référents et se présentent comme véritables « artisans industriels ».
Leur chiffre d’affaires est aussi doré qu’un grain de maïs, avec ses 10 millions d’euros dont 70% obtenus à l’export. En tout, cinquante trois salariés répartis sur les trois usines veillent à la commercialisation annuelle de quelque 25.000 tonnes de produits finis.
Histoire que vous puissiez briller dans les dîners mondains, vous préciser que la rafle de maïs se décompose en trois parties naturelles : le cœur et la périphérie où s’implantent les grains qui composent la partie légère ; tandis que la ceinture ligneuse, entre cœur et périphérie, forme la partie dure.
C’est par un processus complexe de séparation, broyage et tamisage que Eurocob obtient deux gammes de produits aux spécificités particulières : Eu-Grits à partir de la ceinture ligneuse, sans poussière, à la densité élevée, à la grande coulabilité et une dureté équivalente à celle du fer ; Eu-Feeds provenant du cœur et de la périphérique de la rafle, tendre, de faible densité, de grande capacité d’absorption (jusqu’à 5 fois son poids en eau).
Eurocob ? Ils raflent tout sur leur passage.
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